Traversée des avec un très beau programme, construit en écho à la peinture de dont avait admiré la "Frise de la vie" à l'université d'Oslo. Kielland fait ondoyer les mélodies de Grieg et de Strauss tout en maintenant une narration ferme, assurée et dramatique; dans les Schumann, elle fait ressortir une ferveur et une simplicité qui évoquent un choral, et l'apothéose de Liebestod nous laisse sans voix, échoués sur le rivage d'un océan infini...

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