« Je reste non-violent, mais je comprends la rage des militants »
« On a gagné grâce à la non-violence, mais je ne suis pas sûr qu’on aurait pu s’y tenir face aux flics d’aujourd’hui. Je reste fondamentalement non-violent, mais je comprends la rage des militants face à l’urgence. Il ne faut jamais oublier que la première violence est celle de l’État »
« L’État a des armes qu’on n’a pas, si on va à l’affrontement, ils seront toujours plus forts. Il faut jouer sur l’effet de surprise pour mener des actions en contournant la répression »
Un autre élément déterminant fut un atout clé pour tenir dans la durée : la joie. « Chaque manif, chaque action de terrain, on finissait par un pique-nique ou quelque chose de festif...
On était jamais triste, c’était comme une grande famille. C’est aussi ça qui m’a fait rester...»
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