#Afghanistan: The #Taliban have banned #women from visiting the Band-e-Amir national park in the central #Bamiyan province.
#Tristesse #Colère
#womensrights
https://www.bbc.com/news/world-asia-66633178?at_medium=RSS&at_campaign=KARANGA via @BBCWorld

@ServalF @uichelorraine TOUT MON SOUTIEN ! J'ai fumé 2 paquets/jours pdt plusieurs décennies et TOUS mes soucis étaient dus à la clope bien sûr, tout comme vous. Jamais soigné correctement. Voire jamais soigné.
J'ai arrêté seul (je vapote) et uniquement pour des raison financières et miracle : TOUS mes problèmes sont aggravés, avec l'âge. Et maintenant y'a plus personne pour me soigner, vu l'état des hôpitaux.
On stigmatise les fumeurs SANS JAMAIS les écouter.
Idem que grossophobie.
#colère

De plus en plus d’#Ehpad au bord de l’asphyxie financière, entre crise de confiance et hausse des coûts.
Partout en France, des établissements accueillant des personnes âgées ne parviennent plus à boucler leur #budget, et certains sont contraints de fermer, comme à Lanobre, dans le Cantal. Les maires déplorent le manque de soutien de l’#Etat.
#tristesse #colere
https://www.lemonde.fr/societe/article/2023/08/21/de-plus-en-plus-d-ehpad-au-bord-de-l-asphyxie-entre-crise-de-confiance-et-hausse-des-couts_6186028_3224.html via @lemondefr

Je sais bien que c'est extrême comme façon de faire mais 1) c'est insupportable de voir de telles opinions éclatées au sol prendre de l'espace 2) la situation que nous vivons est extrême et nous n'avons pas le temps de gérer les dégâts de ces personnes.
A quel moment on s'est dit que n'importe qui pouvait ouvrir son bec et débiter des conneries ? A quel moment les journalistes cautionnent suffisamment ces discours pour les relayer ?
Bref, ce matin je suis en #colère.

3/Ne nous condamnons pas à cette impasse sociale, donc politique. Reconstruisons de vraies confiances, de vraies solidarités, courageuses. Au risque de vivre, comme une mise en abîme, la reproduction insensée et débilitante de ce contre quoi nous prétendons nous dresser. Et qui nous arrive dans la face à grande vitesse.

#colere #impatience #demain

3/Ne nous condamnons pas à cette impasse sociale, donc politique. Reconstruisons de vraies confiances, de vraies solidarités, courageuses. Au risque de vivre, comme une mise en abîme, la reproduction insensée et débilitante de ce contre quoi nous prétendons nous dresser. Et qui nous arrive dans la face à grande vitesse.

#colere #impatience #demain

Si vous avez de la #colère en vous, ou que vous ressentez l’emprise d’une émotion violente avant de parler avec quelqu’un, faites une pause, offrez-vous ce cadeau, à vous et à autrui. C’est peut-être difficile, mais tout le monde, en ressort gagnant au final. Il ne s’agit pas de se taire, mais de dire les choses de façon posée et équilibrée. tel est mon opinion.

🇫🇷✊🏼✊🏿✊🏽 Mort de #Nahel : dans le 93, un jardin pour partager la #colère 😡 🌱

➡️ Après le meurtre de Nahel et le début des révoltes dans les quartiers populaires, la tension est redescendue à Villetaneuse, en Seine-Saint-Denis. Un jardin partagé permet aux habitants de discuter et politiser leur colère ↘️↘️

https://reporterre.net/Mort-de-Nahel-dans-le-93-un-jardin-pour-partager-la-colere #emeutes #revolte

[Vidéo] Nahel : marche blanche et colère noire

La marche blanche pour Nahel a eu lieu ce jeudi au pied de la cité Pablo Picasso à Nanterre. Entre colère et tristesse, les proches du jeune abattu par un policier lors d'un contrôle routier étaient accompagnés de milliers de manifestants. En marge du cortège, des affrontements ont éclaté entre jeunes et policiers, prémices…
https://www.blast-info.fr/emissions/2023/nahel-marche-blanche-et-colere-noire-2fjj-B7fRNukK9xJO-gtIg #Colere #Marche #Nahel

Je crois sincèrement que de plus en plus de français sont abasourdis par la dérive du pouvoir. (en tout cas, c'est mon cas). https://blogs.mediapart.fr/arielle-kies/blog/020723/monsieur-le-president-que-puis-je-dire-mon-fils #france #politique #pouvoir #peur #colère

La #République à l’épreuve de la #colère : au-delà du retour au calme, il faut réparer les #fractures sociales et territoriales que le manque de volonté #politique a aggravées ces dernières années.
https://www.lesradicauxdegauche-lrdg.fr/actualites/20230702-2126-la-republique-a-lepreuve-de-la-colere

Je copie ici, en un seul message et avec son autorisation, la suite de 9 messages que vient de publier @JacquesCaplat (Comment ? Vous ne le suivez pas encore ?). Évidemment, c'est un peu long, mais c'est pour cela que les forces progressistes ont toujours un désavantage sur les réacs : comprendre prend plus de temps que poster des âneries sur les réseaux sociaux.

"Ils se trompent d'adversaires". Vraiment ? - #Émeutes #Colère

Militant convaincu de l'urgence vitale de la transition agricole (climat, biodiversité), je ne peux qu'être déprimé de voir brûler des Biocoop. Comme des instits de voir brûler des écoles. Ou des bibliothèques.
"Ils se trompent d'adversaires".
Certes. Mais.

Je sais que la bio n'est pas du tout destinée aux riches, mais qu'elle est une alternative technique indispensable pour sauver la planète. "Ils se trompent d'adversaires".

Beaucoup d'enseignant·e·s se battent pour donner les mêmes chances à tou·te·s leurs élèves, et voient l'école comme un lieu d'émancipation. "Ils se trompent d'adversaires".

Beaucoup d'acteurices de la culture sont convaincus que les médiathèques et les bibliothèques sont des lieux de progrès social et d'émancipation. "Ils se trompent d'adversaires".

Et s'ils ne se trompaient pas tant que ça ?

Pour nous qui sommes engagé·e·s dans des combats vitaux où la bio, l'école, la culture sont des alliés voire des raisons d'être, la colère des jeunes des banlieues après le meurtre de Nahel par un policier semble décalée, injuste, excessive.

[NB : Merci d'éviter de venir polluer ce thread par des chouinages envers les termes que j'ai utilisés ici. Le procureur a précisément inculpé le policier "d'homicide volontaire", dont le synonyme légal exact est "meurtre". C'est un fait. Précis.
Je bloquerai à vue celleux qui auront l'indécence de venir diffamer la victime ou défendre le meurtrier.]

Or donc, colère légitime il y a, chez une population humiliée, méprisée, violentée. Mais "ils se trompent d'adversaires".

Quoique.

Le fait que NOUS nous battions pour que la bio soit accessible à tou·te·s, car son développement est une nécessité écologique majeure et primordiale, ne signifie pas pour autant que sa place sociale soit celle que nous souhaitons.

Bien sûr, je sais, j'explique sans relâche, que la bio coûte en réalité moins cher à la société que l'agriculture conventionnelle si l'on prend en compte les coûts indirects payés par ailleurs (pollution, santé), et que son prix de vente plus élevé n'est que le résultat injuste de distorsions de concurrence et d'un abandon par l'État français.

Oui, je sais, j'explique sans relâche, que la bio n'est pas un "produit" mais un mode de production agricole.

Mais qui est assez naïf pour ne pas voir que dans beaucoup de quartiers, les magasins bio sont fréquentés par les classes aisées et les classes moyennes supérieures ? Normal : même si nous déplorons les prix plus élevés (pas si élevés que ça en fait), ils sélectionnent. Ils sélectionnent les moins pauvres, ils discriminent. Et ils apparaissent comme un élément d'affirmation sociale et de ségrégation sociale.

Nous nous battons contre ce fait - mais il est là. Comment reprocher à ces jeunes de le ressentir comme une violence ?

C'est exactement la même chose avec l'école. Émancipatrice, vraiment ?

Soyons sérieux : nous sommes très nombreuses·x à avoir subi d'extrêmes violences sociales à l'école. Soit dans la cour de récré de la part des "camarades", soit de la part de l'institution dont tous les membres ne sont pas exempts de racisme, de sexisme, de mépris de classe, etc. Même celleux qui s'indignent des écoles brûlées savent bien qu'iels ont parfois dû batailler contre des collègues ou leur hiérarchie.

Idem avec les médiathèques et bibliothèques. Le "savoir", la "culture" qui y sont proposés s'inscrivent dans une réalité sociale souvent très inégalitaire, et reproduisent très largement des lignes de fracture, de ségrégation symbolique, de domination, de mépris.

Les faits que je rappelle ici sont terribles et extrêmement désagréables. En tant que militant·e·s, profs, paysan·ne·s, chercheureuses, nous nous battons précisément pour faire de ces lieux des outils politiques d'émancipation.

Mais d'une part le rôle de l'anthropologie n'est pas de juger ou de regretter mais de témoigner sur des situations sociales, et ces faits sont là ; d'autre part même vous qui êtes choqué·e·s de ces violences, vous êtes conscient·e·s de ces limites en votre fort intérieur.

C'est bien parce que ces outils d'émancipation n'en sont pas vraiment, pas pour tout le monde, pas pour les populations victimes de racisme, de mépris de classe, d'abandon politique, que nous nous battons pour qu'ils le deviennent.

Mais là, aujourd'hui, dans le monde réel que nous nous prenons pour de vrai dans la figure, les magasins bio, les écoles, les médiathèques, ne sont PAS (pas encore ?) des outils d'émancipation pour les jeunes des banlieues, mais au contraire un rappel extrêmement violent de tout ce qui les écrase, de tout ce qui leur fait perdre espoir, de tout ce qui nie leur dignité humaine.

Chacun peut légitimement choisir de rejeter toute violence et préconiser "l'action non-violente" (qui n'est certainement pas un renoncement, mais qui est au contraire une forme d'action, très dynamique et résolue). C'est la démarche que je privilégie.

Mais nous ne pouvons pas occulter deux points.

D'abord, ces formes d'action non-violentes sont précisément réprimées (dissolution des Soulèvements de la Terre) ou insultées par certains intellectuels donneurs de leçon (critique outrancière envers les militant·e·s ayant jeté du jus de tomate sur les vitres de protection de tableaux), et sont fermement rendues inefficaces par l'État et ses complices.

Ensuite, personne n'est légitime à juger des extrémités auxquelles des populations désespérées sont poussées. Briser des chaînes émet toujours des éclats. Et ceux qui n'ont plus rien à perdre n'ont guère d'autre choix, en partie par notre faute.

Alors bien sûr, je comprends la souffrance du personnel des magasins bio, des médiathèques et des écoles qui ont été incendiés ces derniers jours. Je pense notamment à la Biocoop de Brest, qui s'était précisément implantée dans un quartier populaire pour rompre la ségrégation sociale !

C'est d'autant plus insoutenable pour elleux qu'iels se battent précisément contre le racisme et le mépris qui écrasent ces jeunes. Ils sont dévastés, se sentent trahis, incompris, niés à leur tour.

Mais, étant du "bon côté" des inégalités sociales, nous avons la responsabilité de ne pas nous tromper d'adversaires, nous non plus.

Nous devons résister à la tentation de donner des leçons, de nous plaindre d'être des dégâts collatéraux, ou de nous diviser. Tout ce qui se passe actuellement découle de choix politiques et sociaux profonds, et c'est en restant alliés, solidaires, que nous les changerons.

ll en est de même avec la lutte contre les effondrements du climat et de la biodiversité : celleux dont les méthodes nous paraissent inadéquates se battent pour sauver la planète, dans l'urgence et le désespoir, avec les moyens dont iels disposent. Quels que soient les désaccords sur les modes d'action, ce ne doit jamais être nos adversaires.
Jamais.

Les critiquer (ou pire les combattre) revient à donner la victoire aux pétroliers, à l'agro-chimie, aux bétonneurs, aux racistes, aux homophobes, aux milliardaires. Parlons-nous, discutons respectueusement des raisons qui poussent à agir de telle ou telle autre manière. Essayons de comprendre et de trouver comment articuler les différentes actions.

Et si nous n'avons guère l'occasion de discuter avec les jeunes des quartiers populaires, avec les victimes du racisme quotidien, c'est bien la preuve d'une déconnexion, d'un problème de clivage social profond.

La démarche que je propose ici n'a rien d'angélique ni d'irréaliste. Elle est très clairement mise en œuvre, avec succès, dans les luttes rurales des pays du Sud (= donc dans la majorité de l'humanité).

Les mouvements de l'agriculture biologique et paysanne, ceux pour la défense des peuples autochtones, ceux contre l'accaparement des terres, ceux contre les violences sexuelles et les discriminations de genre, ceux pour l'inclusion sociale réelle des handicapé·e·s, sont réunis dans des luttes communes. Les communautés rurales du Sud se battent en même temps pour la souveraineté alimentaire, les droits paysans, la reconnaissance des peuples autochtones, les droits des femmes, les droits des LGBTQ+, les droits des personnes handicapées et des personnes fragiles. Vraiment ensemble, comme une évidence.

Une seule humanité, une seule planète.

Dissolution des Soulèvements de la Terre, on fait de l'humour sur les pancartes, mais la colère elle monte, monte. 😡

#soulevementsDeLaTerre #colère #dissolution

Je lis l'histoire du sous-marin disparu près du Titanic.

Ouais ouais c'est très la tristesse toussa mais ça fout quand même la rage de voir tous les moyens mis en place pour secourir 5 bourgeois, toute la couverture médiatique pour cet événement...

... Alors qu'on laisse crever des milliers de migrant'es dans la Méditerranée comme si c'était banal et normal.

Peut-être que si les réfugié'es payaient 250 000€ la place de bateau, on se soucierai d'elleux ?

#réfugiés #sousmarins #colere

#manif #colère

RT @jbSelleret
Je n'ai jamais crié #ACAB mais aujourd'hui ma fille de 17ans vient de prendre un éclat de grenade dans l'oeil..elle manifestait gentillement avec ses amis.
Nous sommes aux urgences
#1ermai #Nantes #tristesse #colère
@GDarmanin
@Prefet44 @PoliceNat44
une explication ??????

RT @jbSelleret
Je n'ai jamais crié #ACAB mais aujourd'hui ma fille de 17ans vient de prendre un éclat de grenade dans l'oeil..elle manifestait gentillement avec ses amis.
Nous sommes aux urgences
#1ermai #Nantes #tristesse #colère
@GDarmanin
@Prefet44 @PoliceNat44
une explication ??????

RT @jbSelleret
Je n'ai jamais crié #ACAB mais aujourd'hui ma fille de 17ans vient de prendre un éclat de grenade dans l'oeil..elle manifestait gentillement avec ses amis.
Nous sommes aux urgences
#1ermai #Nantes #tristesse #colère
@GDarmanin
@Prefet44 @PoliceNat44
une explication ??????

Le pire, dans tout ça, ce sont les syndicats qui espèrent clairement canaliser la #colère #légitime de la population en proposant une petite balade digestive DANS 15 JOURS !!!!

La seule réponse possible : #grevegenerale

#conseilPodcast : "Si #MeToo a déclenché une libération de la parole et de l’écoute sur les violences sexistes et sexuelles, le chemin vers la réparation est encore long, et les impasses nombreuses."

Victoire #Tuaillon :
"T'as même cette formule dans le livre où tu dis que les jours pessimistes, tu as la vague impression qu'en fait tous ces sacrifices de notre santé mentale, tout ce temps, cette énergie, etc., bah le résultat, c'est peut-être que les mecs ont un peu plus peur et peut-être les jeunes baisent un peu mieux, voilà."
Lauren #Bastide :
"Ouais, c'est comme ça que je résume les choses. C'est pas rien, mais... C'est pas la révolution
anthropologique qu'on attendait, je crois."

https://www.binge.audio/podcast/les-couilles-sur-la-table/01-comprendre #LesCouillesSurLaTable #féminisme #justice #biaisJudiciaire #colère