Aux #comparutions immédiates : « Non, l’ #insigne de la #police nationale n’est pas #gage de #vérité ! »
> Des #prévenus poursuivis pour participation aux #émeutes ou #rébellion, qui avaient demandé un délai pour être jugés, ont comparu, début août, devant les #tribunaux de Paris, de Bobigny ou de Versailles. Mais les #procédures établies dans l’urgence, qui reposent sur la seule parole #policière, sont mises en doute.
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RT @PartiIndigenes
Les #comparutions immédiates du 3 juillet à #Bobigny ou la condamnation à une nouvelle attente
Rédaction du Parti des Indigènes de la République
Les #comparutions immédiates du 3 juillet à #Bobigny ou la condamnation à une nouvelle attente
Rédaction du Parti des Indigènes de la République
RT @PINCON_CHARL0T@twitter.com
Les #comparutions immédiates créées sous François Mitterrand, en 1983, pour juger dans l’urgence après le délit et de manière expéditive, aboutissent à ce que le 26 juillet dernier, 16 prévenus ont été jugés à Paris en 13h20 d’audience. Un véritable abattage !