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Le récap va faire peur aujourd'hui !
🎞️ On revient sur le film "Barbarian", sorti fin 2022 sur Disney+, et qui brillait tant pour son ambiance que pour sa façon de faire peur avec des angoisses modernes :
https://dansmoneucalyptusperche.com/2022/11/12/barbarian-frayeurs-modernes/
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La Croque-Mitaine !
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La Maison Qui Tue (1971)
Un bon film d'horreur à l'ancienne?
https://archive.org/details/LaMaisonQuiTue1971
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Le côté humain-machine qu'on découvre dans la deuxième partie est absolument génial et très bien géré.
On y retrouve des #MastoLivre #MastoLivres #Bookstodon #Épouvante #Midnight #DeanKoontzcodes de la science-fiction de l'époque, et on pourrait presque voir des décors "vintages" dignes de nos films préférés prendre vie juste sous nos yeux.
Pour autant, le livre a très bien vieilli et, comme je le disais, il trouve un écho assez dérangeant dans les années 2020.
J'avais l'impression qu'on s'éparpillait entre les régressifs, les #cyborgs, les Nouveaux Hommes qui ne devenaient ni l'un ni l'autre, mais finalement les choses s'éclairent dans la troisième et dernière partie... Autant que des mutations non-contrôlées peuvent être claires.
#Koontz a finalement choisi de confiner les questions existentielles à Sam Booker et à Watkins, qui sont des personnages qui travaillent en tandem implicite dans la trame. L'un a perdu le contact avec un fils bien vivant qui s'est muré dans le silence, l'autre ayant mis un terme prématuré à la vie d'un garçon devenu + circuits et câbles que chair et sang.
Booker s'est donc pris d'affection pour la petite Chrissie, pleine de vie, de rêves et de candeur.
Les deux hommes, toujours suivant des chemins parallèles, ont donc décidé d'éliminer celui qui, supposé élever la race humaine, a fait de leur vie un véritable cauchemar.
En fait, on s'attend presque à ce qu'ils fondent de concert sur Shaddack, chacun lui logeant une balle dans un organe vital.
On a aussi de petits passages avec Harold, la guerre du Viet-Nâm, quelques citations doucereuses sur la responsabilité et la joie d'être en vie.
C'est un côté qui est finalement assez peu creusé, si on regarde par rapport à la taille du pavé, mais j'ai la sensation que c'est pas + mal.
Comme je le disais, j'ai trouvé le style excellent.
Il sera sans doute un peu lourd pour certain-es, mais c'est tout à fait mon genre.
Très imagé, crédible sans se perdre en technicités, largement poétique et capable de maintenir une belle tension tout au long du livre.
Le point faible se trouve pour moi dans les dialogues, qui ont tendance à tomber un peu à plat, et dans certaines répétitions ; les sentiments de Watkins, le monologue interne de Chrissie, la description des sons émis par les régressifs... On tourne parfois un peu en rond avec un vocabulaire trop similaire alors qu'il est excellemment varié partout ailleurs dans le livre.
Volonté de raccrocher les passages entre eux ou maladresse ? Les deux cas semblent tout aussi étranges pour un auteur comme Koontz qui nous montre qu'il manie les mots avec une telle adresse. Donc on va dire que c'est la faute à la traduction.
C'est un livre qui se relit, un livre qui fait réfléchir, un livre qui se prête, comme le prouve l'état de mon édition de poche.
En tout cas, un livre que je conseille vivement.
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On voit, bien avant la fin, une "morale" plutôt évidente ; la vie sans sentiments ne vaut la peine d'être vécue.
Comme l'a si bien dit Watkins, l'humain n'est pas fait pour être une machine.
Il n'est pas fait pour raisonner froidement sans colorer chaque décision de sentiments, d'expériences, de biais, de tout ce qui fait son unicité.
Et c'est très bien comme cela.
Et lorsqu'il est possible aux humain-es de devenir ces créatures froides, si fortes physiquement et psychologiquement, si proches de la "perfection", mais si vides à la fois, alors elles choisissent l'involution, et retournent, consciemment ou non, à un état + "simple".
Un état où il n'existe ni responsabilités, ni pensées complexes, ni raisonnements, ni rien de tout cela.
Un état de pulsions, qui demandent à être assouvies.
Cette idée qui se profile, l'idée, qu'au fond de notre inconscient, une petite partie demande à ne plus exister si on lui retire ses contraintes et ses limites, est intéressante et peu explorée.
Si l'esprit peut devenir ce qu'il souhaite, sans les barrières corporelles qu'on lui connaît, alors il choisit de n'être rien.
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Tiens, je me plains trop peu, alors j'en remets une couche.
Il reste 200 pages pour affiner, voire un peu +, mais j'ai l'impression qu'on s'éparpille un poil sur les conséquences des expériences de Shaddack via NWM.
Par là, on part sur un sujet très profond, on aborde des questions de nature humaine, d'instinct, de volonté profonde, et même de croyances et d'imagination, qu'on avait peu touchées jusque là, en réalité.
Sans une bonne introduction (les monologues du flic sur ses sentiments passés et présents ne comptent pas comme une bonne introduction), ça tombe un peu comme un cheveu sur la soupe, et c'est très dommage.
D'une part parce qu'on rate beaucoup d'un sujet extrêmement intéressant, et d'autre part parce que ça affine tant le voile du livre qu'on peut presque y voir à travers. S'il n'y a pas la place dans l'histoire pour traiter le monstre que sont les bas instincts humains et notre attachement à nos sentiments et à nos sensations, alors il ne faut pas s'y lancer au risque de s'y noyer.
En suivant le père de Denny (qui a enfin eu droit à des dialogues qui ne soient pas d'une platitude effarante, mais qui ne sont pas non plus une prose indispensable), on en découvre un peu plus sur cet aspect de l'histoire.
À partir de là, trois options :
- #Koontz abandonne l'idée de traiter ce gros morceau, avance, sauve les héros, joie, fin
- Koontz décide de traiter un sujet sur lequel les philosophes de tous horizons se cassent les dents depuis des siècles, explose en vol, le bouquin s'écrase au sol, fin
- Koontz décide de traiter un sujet sur lequel les philosophes de tous horizons se cassent les dents depuis des siècles, y arrive avec souplesse et esprit, je suis soufflée, fin.
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Page 400/600, le livre ne m'a toujours pas laissée tomber !
On voit mieux les contours liées aux peurs d'un transhumanisme décomplexé, bien présentes en 91.
En fait, lire ça maintenant, alors qu'on voit des personnalités étonnamment proches de celle du créateur du projet Faucon-Lune avec de gros moyens et une affinité certaine pour la technologie et la création d'une "race supérieure", c'est un poil angoissant.
Même à travers une lentille vieille de maintenant plus de trois décennies (eh ouais...), on est sur quelque chose de très actuel. Pas sur le sujet des "croquemitaines", mais sur bien des aspects de fond.
Donc on va se focaliser sur la forme, histoire de quand même pouvoir dormir un peu.
Les transitions, nombreuses, entre les personnages mais aussi entre les époques, sont si fluides que les pages filent à toute vitesse.
Le scénario ne s'est toujours pas essoufflé ; loin de là, en fait. Il ne cesse de s'étoffer avec de nouvelles informations sur NWM, sur la backstory de Shaddack, sur les relations entre les personnages...
Second petit point noir cependant : on voit très vite que Tessa et Sam feront un très joli petit couple, l'agent du FBI taciturne et la petite réalisatrice blonde aventureuse, avec l'adoption de Chrissie au milieu. C'est joué d'avance.
D'expérience, c'est assez inévitable dans ces histoires, et c'est un poil dommage, mais avec tout ce qu'on vit au fil des pages, on a bien mérité un peu d'amour, non ?
Troisième point noir, et pas des moindres celui-ci : le traitement des blessures de guerre de Harold.
S'il y a tentative d'ouverture à l'anti-validisme, notamment via Chrissie, on reste sur un vocabulaire qui fait grincer des dents quant au fauteuil roulant.
Ça sent le sapin pour Shaddack, notre transhumaniste préféré. Il aurait pas dû transformer le fils du flic en ordinateur, aussi. Enfin bon.
Quelle histoire, je vous le dis.
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Aux alentours de la page 250/600, l'histoire semble se passer bien vite.
Ça s'explique aussi par le fait qu'au début du livre, on arrive *dans* l'action, j'aime beaucoup ça.
Attention, spoilers.
On a environ 50% de la population de Moonlight Cove convertie, et notre Élan Muské en goguette qui commence à avoir les genoux qui claquent.
Mais, nos héros et héroïnes sont bien loin d'être tiré-es d'affaire (surtout la gamine, on va pas se mentir.)
Le rythme est excellent, la trame impeccable, les personnages vraiment attachants avec une bonne backstory, une construction en 3D comme je les aime, pas de méchants très méchants ni de gentils au-delà de toute bassesse.
Au début, on rencontre beaucoup de personnages et ça fait un peu peur ; je suis retournée quelques fois en arrière pour vérifier des noms.
Heureusement, c'est suffisamment bien construit pour que la confusion s'estompe rapidement et qu'on ne mélange plus Tessa et Chrissie, Booker et Shaddack.
Seul petit point noir pour moi pour l'instant, quelques petites répétitions ; Koontz veut être *vraiment* sûr que j'ai compris que Chrissie se racontait sa propre histoire, ou que Mike était prisonnier de sa forme déviante.
Du coup, il s'est bien assuré de l'écrire plusieurs fois. En des termes assez similaires pour que je hausse un sourcil devant tant d'insistance.
Franchement, si au bout de + de200 pages d'un récit intense, c'est le seul reproche que j'ai à faire... On s'en sort vraiment très bien.
J'ai hâte de voir où on va ; comme je l'ai dit, on semble filer à toute allure vers un dénouement alors qu'on est à seulement un tiers du livre.
J'espère sincèrement qu'on va pas croiser de remplissage parce que, jusque là, tout a été vraiment palpitant.
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Le bouquin que j'ai entamé est si flippant que je tiens une patte à Nana pendant que je lis pour me rassurer.
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