Toujours sceptique sur les justications techno-solutionniste du high-tech. Je serais curieux de voir la proportions de clients qui bossent vraiment sur ces questions.
Toujours sceptique sur les justications techno-solutionniste du high-tech. Je serais curieux de voir la proportions de clients qui bossent vraiment sur ces questions.
Ce qui est cool ici c'est qu'on peut modifier nos pouets pour ajouter le mot croisillon #SouvNum quand on l'a oublié :-)
Et on termine par un prof d'université qui dit n'importe quoi, par exemple que #ping sert à tester si on peut rentrer dans une machine.
#ping #souvnum #cybersécuritay
« Tout cela, c'est de l’opinio juris. » Et en plus, ielles parlent latin.
« Le sujet est passionnant. » Les juristes ont des drôles de passions.
C'est assez space, un exposé sur la régulation du cyber-espionnage.
« L'armée considère que le cyber-espionnage est une cyber-attaque. » À ce compte-là, on est en cyber-guerre en permanence.
Ça fait drôle de suivre la conf' de Karine Bannelier sur le cyber-espionnage dans la ville où a eu lieu le fameux deuxième procès Dreyfus.
Dans le chat Zoom, un type suggère de soumettre les algorithmes à « la régulation des autorités ».
On autorise le XOR, quand même ?
Karine Favro attaque après le déjeuner avec les stratégies d'influence des étrangers désinformateurs.
Elle explique bien que le problème est plus compliqué que dans les discours ministériels/ARCOM.
#SouvNum
« Les débats en France sont très polarisés. » Pas seulement sur la souveraineté numérique :-)
Et on finit chez nous avec Alix Desforges sur « la conception française de la souveraineté numérique »
[Vercingétorix et Jeanne d'Arc aiment ce message.]
Paul Alain Zibi Fama répond que la Chine vend beaucoup de « produits de cybersécurité » en Afrique car ils sont moins chers.
« La Chine et la Russie apparaissent comme des modèles [de souveraineté numérique] en Afrique. »
Il insiste aussi sur la nécessite du renforcement des capacités (formation).
Paul Alain Zibi Fama explique maintenant la vision africaine de la souveraineté numérique.
Il pointe que, pour l'instant, il n'y a pas de prise de conscience. (Malgré le fait que la plupart des services soient gérés à l'extérieur.)
Loi russe pour un Internet souverain en 2019. Souvent présentée de manière caricaturale, surtout aux USA (où nationalisation = goulag).
Les printemps arabes ont beaucoup marqué les dirigeants russes, leur faisant craindre d'être renversés par l'Internet.